Glossaire

Le simple vitrage est une feuille de verre unique dont l’épaisseur peut varier de 2 mm à 10 mm ou plus. Cette feuille de verre équipe les fenêtres anciennes.

Espace ou rainure dans l’ouvrant qui accueille le vitrage. La mesure du vitrage « fond de feuillure » correspond à la taille que ce dernier ne peut dépasser.

Montant, en général vertical, qui vient s’appuyer et en général s’encastrer en contact étanche pour l’air et le bruit avec le reste : soit avec un autre ouvrant, soit avec le dormant.

Partie fixe de la fenêtre fixée dans la maçonnerie, dans laquelle vient s’emboiter la partie mobile ou ouvrant.

La paumelle est une charnière fixée d’une part sur l’ouvrant et d’autre part sur le dormant et qui permet de faire pivoter cet ouvrant afin de réaliser son ouverture. Le nombre de paumelles peut varier de 2 à 5 par battant.

De plus, chaque paumelle peut soutenir 55kg à 65kg à l’arrachage.

Action de soulever l’ouvrant afin de le désolidariser du dormant.

Décoration du vitrage sous forme de barres horizontales, verticales ou sous forme de croisillons qu’ils soient en appliques sur le verre ou intégrés dans le double vitrage.

Le tenon est la partie mâle d’une pièce de construction destinée à être enfoncée dans la partie femelle d’une autre pièce et qui tient les deux par emboîtement. La partie femelle est appelée la mortaise. Dans le cas des petits bois de décoration, l’extrémité du décor constitue le tenon et la partie qui la reçoit sur l’ouvrant constitue la mortaise.

Sur une fenêtre, c’est la partie visible du vitrage. Elle dépend de la largeur des profilés et de la surface des vitres.

C’est la moulure de finition qui encadre le vitrage. Elle est située à l’intérieur de l’habitation. Symétriquement, coté extérieur, on trouve la feuillure qui reçoit le vitrage maintenu grâce au mastic.